Le chinois est la
1ère langue (1, 2 milliard), suivi de l'espagnol (400 millions),
l'anglais (360 millions), le hindi (260 millions). Ce classement ne
prend en compte que les natifs.
Mais l'arabe arrive
en 4ème position si l'on considère le nombre de gens dont l'arabe
est la deuxième langue. On a le classement suivant selon le site
infoplease.com
: 1) chinois (1,5 milliard), 2) espagnol (512 millions), 3) anglais
(1,1 milliard), 4) arabe (447 millions) et 5) hindi (380 millions).
L'anglais ayant moins de natifs que de gens dont c'est la deuxième
langue se classe en troisième position.
L'islam est un bon
vecteur de la langue arabe puisque la prière et la récitation du
coran se font en arabe.
De plus, de nombreux
sites s'accordent à dire que l'islam
est la religion avec la plus grande croissance et qu'elle
dépassera toutes les autres dans un futur proche. Même si
personnellement, je pense que l'islam est déjà la religion la plus
pratiquée dans le monde, quantitativement et qualitativement. Ceci
m'amène à dire qu'il n'est pas normal que si peu d'efforts soient
déployés pour faire en sorte que l'arabe devienne la langue
dominante de la planète.
Nous sommes la
religion du livre par excellence et nous enregistrons des
taux d'analphabétisme honteux dans les pays arabes mêmes. Si
nous ne réglons pas ces problèmes sérieusement nous ne pouvons pas
prétendre diffuser cette noble langue.
L'arabe est une
belle langue d'une grande logique. Le fait qu'elle apparaîsse
difficile à apprendre est surtout dû au fait qu'elle est mal
enseignée notamment quand elle est enseignée à des
non-arabophones. De nouvelles méthodes s'imposent.
Une des raisons qui
entravent sa diffusion est le fait que les Arabes eux-mêmes s'en
foutent (excusez l'expression) de faciliter la diffusion de celle-ci.
Ils se complaisent dans leurs dialectes et n'hésitent pas à rire au
nez des étrangers qui font l'effort de vouloir parler arabe avec eux
en arabe classique. L'étranger souvent abandonne car il s'est senti
humilié et l'Arabe (chauffeur de taxi, employé, simple habitant...)
continue sa vie dans son cocon sans prêter le moindre intérêt aux
conséquences de son insouciance et à la sensibilité qu'il a pu
heurter. IL FAUT QUE ÇA CESSE. Il faudrait que chaque Arabe se
transforme en ambassadeur de la langue arabe. Sourire ou rire au nez
de quelqu'un qui fait l'effort de parler avec vous et qui cache une
grande soif d'apprendre, c'est quasiment un crime. Offrez de votre
temps vous Maghrébins, et autres arabophones, répondez aux
questions des étrangers qui veulent apprendre. Si vous ne savez pas
répondre, orientez-les vers des gens qui savent.
La paresse et
l'analphabétisme ne sont pas des choses à fêter. Même
analphabète, j'imagine que l'on peut comprendre cela. Dans des pays
comme l'Indonésie, la Malaisie, et sûrement d'autres, ils
organisent des débats en arabe régulièrement autour de plein de
sujets de société. Pourtant l'arabe n'est pas leur langue. C'est
donc la mentalité qu'il faut changer, réformer.
Voilà un premier jet sur pourquoi il me semble que l'arabe ne se diffuse pas assez. Même si je comprends que les Arabes puissent avoir d'autres priorités, rien n'excuse leur comportement face à la soif d'apprendre de l'étranger, leur complaisance dans la paresse et l'insouciance. Si nous réalisions que l'on parle de la langue du Coran et que l'on rit quand elle est utilisée par un étranger pour s'exprimer et apprendre et que l'on lui oppose les dialectes pleins d'influences étrangères et facteurs de division, nous pourrions alors réellement considérer la nécessité d'un changement radical dans un domaine qui semble anodin mais qui est des plus cruciaux.
Voilà un premier jet sur pourquoi il me semble que l'arabe ne se diffuse pas assez. Même si je comprends que les Arabes puissent avoir d'autres priorités, rien n'excuse leur comportement face à la soif d'apprendre de l'étranger, leur complaisance dans la paresse et l'insouciance. Si nous réalisions que l'on parle de la langue du Coran et que l'on rit quand elle est utilisée par un étranger pour s'exprimer et apprendre et que l'on lui oppose les dialectes pleins d'influences étrangères et facteurs de division, nous pourrions alors réellement considérer la nécessité d'un changement radical dans un domaine qui semble anodin mais qui est des plus cruciaux.
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